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OM #P2S : « L’avertissement de Bielsa : Bâtir ou partir mais pas mentir »

Publié le - Mis à jour le
Journaliste professionnel suiveur de l'OM (olympique de Marseille) depuis plus de 10 ans. Couvre l'actualité de l'OM et du mercato OM pour le média marseillais Football Club de Marseille.
OM #P2S : « L’avertissement de Bielsa : Bâtir ou partir mais pas mentir »
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Suite de notre rubrique « Paroles de Supporters » avec Baran Dilek qui continu de nous livrer son analyse de la situation à l’OM. Vous pouvez nous envoyer vos réactions ou vos billet d’humeur à l’adresse mfc.paulr@gmail.com mais aussi via Facebook ou encore Twitter @FCMarseille #P2S. Aujourd’hui, le thème concerne l’écart entre les promesses d’Avril et la réalité du mois d’août. Bielsa se montre patient, mais pour encore combien de temps?

  

L’AVERTISSEMENT DE BIELSA : BATIR OU PARTIR MAIS PAS MENTIR

 

Ainsi Bielsa se refuse de jouer le « Monsieur bricolage » de l’OM pour satisfaire les exigences de dégraissage financier. Son attitude est « flexible » et de bonne volonté… pour le moment et jusqu’à un certain point.

 

Mon petit doigt me dit qu’il ne va pas supporter longtemps la dissonance entre la « conception-projet » vendu au mois d’avril et celle qui se met en place au quotidien.

 

Le régime des petites décisions surprises n’est pas un mode de fonctionnement qu’il accepte dans la durée. S’il n’est pas à 100% rigide comme on le disait dans les médias, il reste clair là-dessus ; Il ne faudra pas pousser le bouchon trop loin :

« il y a des moments où la flexibilité entre en contradiction avec ce qu’indique la connaissance. Et c’est là où l’on se demande que faire : être compréhensif ou être inflexible ».

 

Ceci ressemble à un avertissement…

 

Marcelo Bielsa est dans une logique de bâtisseur diamétralement opposé au management Labrune-Dreyfus, qui, depuis des années passe d’un modèle à un autre, au gré des circonstances.

 

Or le régime des paroles chimériques ne conviennent pas à un entraîneur de sa classe. Si pour la direction, un projet « BAYERN DU SUD », « DORTMUND » ou « ARSENAL »… c’est du pareil au même, Bielsa n’est pas un sophiste mais « un homme de football ». Pour lui, appartenir à un projet sportif ne se réduit pas à afficher un logo, se présenter à l’entraînement et faire la une des journaux.

 

Si la direction continue dans cette voie, il partira.

 

 

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