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OM : Après Labrune, Anigo se paye Boli

Publié le - Mis à jour le
La rédaction de Football Club de Marseille est composé de journalistes suiveurs de l'OM (olympique de Marseille) depuis plus de 10 ans. Nos journalistes couvrent l'actualité de l'OM et du mercato OM quotidiennement.
José Anigo (ancien directeur sportif de l'OM (actuellement en vacances au Maroc)


 

José Anigo a accordé un entretien accordé à RMC, dans l’émission Team Duga, et le moins que l’on puisse dire s’est que l’ancien directeur sportif du club phocéen , n’a pas mâché ses mots au moment d’évoquer Vincent Labrune mais aussi Basile Boli :

 

 


« Il n’en a pas de rôle, Basile, il faut arrêter de dire des conneries ! Qu’est-ce que ça veut dire ambassadeur ? Ambassadeur de quoi ? Tu as besoin d’un ambassadeur à l’OM ? Il faut arrêter la blague ! Soit tu es directeur sportif, tu prends ta valoche, tu vas au front, tu assumes, tu prends des coups, tu as de la réussite et des échecs, mais tu ne peux pas expliquer aux gens que tu es ambassadeur. Tu es ambassadeur de rien du tout ! Basile, je le respecte parce que c’est un joueur qui a ramené la Coupe d’Europe à l’OM et qu’il a fait partie de cette immense équipe dans les années 1990, mais il a été le premier à me reprocher plein de choses quand je me suis accroché avec Papin pour faire pire que moi. Il a pris Michel, il l’a découpé en tranches médiatiquement et ça ne l’a pas gêné.

Par contre, quand moi j’ai affronté Didier Deschamps, ça l’a froissé Basile. Il était avec Vincent Labrune, comme moi j’ai travaillé avec Labrune. Tu ne peux pas dire une fois que le mec est viré que tu n’étais pas avec lui. Didier était un ancien coéquipier, il a choisi un camp. Peut-être que ma gueule ne lui revenait pas, il m’a démonté. Je l’ai croisé depuis à Paris, on en a discuté. Il m’a dit qu’il avait réagi comme un supporter et pas comme quelqu’un de responsable, qu’il regrettait d’avoir dit ça. Je l’ai entendu mais c’est tout. J’étais légitime à mon poste. Je ne regrette absolument rien de ce que j’ai dit. Mais ce qui est sûr, c’est que lui a fait aussi bien que moi, sinon pire, et il a oublié de dire : « J’ai fait comme José. » Il a fait pire que moi. »

 

José Anigo – Source RMC Sport


 

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