Le Calssico PSG – OM a tourné en trois minutes juste avant la mi-temps. Le PSG a repris l’avantage au score grâce à deux penalties. Le premier, suite à une passe abracadabrantesque de Michy, est un peu sévère mais le contact est réel entre Mandanda et Zlatan, sur le second, la position étrange du bras de Rolando peut être considérée comme un à agrandissement artificiellement sa surface physique. Pointilleux mais pas scandaleux, c’est surtout le nombre de penalties sifflés contre l’OM en général qui interpelle ainsi que des actions bien plus litigieuses sur d’autres matches…
Praud : « S’il fallait un exemple que l’OM choisit ses matches… »
Pour Pascal Praud, ses deux penalties n’avaient pas lieu d’être. Le journaliste évoque aussi l’implication à géométrie variable des joueurs marseillais sur son blog : « S’il fallait un exemple que l’Olympique de Marseille choisit ses matches comme l’entraineur Michel l’a déploré la semaine passée, ce PSG-OM a montré que les Marseillais valent mieux que leur seizième place. Depuis le début de saison, j’ai le sentiment que l’OM n’est pas au niveau. (…) Marseille s’incline 2-1 et je m’étonne que tous les observateurs, commentateurs, spécialistes trouvent que les deux penalties sifflés par Monsieur Bastien sanctionnent deux fautes indiscutables. Pour moi, la collision entre Steve Mandanda et Zlatan Ibrahimovic est une action de jeu qui ne mérite aucune intervention de l’arbitre. Quant à la main de Rolando, elle est involontaire et seul ce critère existe pour que soit désigné un penalty. Aujourd’hui, le moindre contact est sanctionné. »
