PUBLICITÉ
PUBLICITÉ
Info Chrono
  • Loading
Précédent Suivant
PUBLICITÉ

PSG-OM: «Un clasico n’est pas qu’une histoire de budget»

Publié le - Mis à jour le
La rédaction de Football Club de Marseille est composé de journalistes suiveurs de l'OM (olympique de Marseille) depuis plus de 10 ans. Nos journalistes couvrent l'actualité de l'OM et du mercato OM quotidiennement.
PSG-OM: «Un clasico n’est pas qu’une histoire de budget»
Footballclubdemarseille TV

Est-ce le match le plus important de l’année?

Elie BAup: « C’est un match énorme pour tout le club, pour nos supporters, et pour les joueurs. C’est à domicile l’événement le plus fort de la saison. C’est aussi l’investissement le plus fort. Un clasico ce n’est peut être pas qu’une histoire de budget et de joueurs sur le terrain. A mes yeux c’est surtout une histoire de cœur. Il faut que l’on mette tout notre cœur, tout notre engagement dans cette rencontre. « 

 

 

L’an dernier vous aviez quand même perdu trois fois de suite. Y a-t-il un moyen de battre le PSG?

 

E.B: « La saison dernière nous avions fait match nul à domicile (2-2). On a ensuite joué trois fois chez eux. La logique financière et sportive doit être démolie par une affaire de cœur, d’investissement. C’est un match particulier qui ne se joue pas, il doit ce gagner. Sur toute une saison on sait que Paris est le favoris du championnat et qu’il sera difficile que quelqu’un les contrarie pour être champion de France, mais sur un match, à domicile, tout est possible. »

 

S’adapter à l’adversaire c’est déjà avoir une attitude d’infériorité.

 

Vous n’allez pas y mettre que du cœur?

 

E.B: « Non mais c’est un argument pour aller plus loin. Le football est fait de jeu, d’arguments tactiques, techniques, physiques mais le mental est quelque chose de très conséquent dans ce genre de rencontre. C’est un match particulier qui se joue comme une finale. »

 

 

 

Tactiquement, l’OM ne doit-il pas jouer différemment pour battre cette équipe du PSG?

 

E.B: « On verra. On doit exprimer ce qu’on sait faire de mieux, ce qui nous correspond et ce qui va aussi nous permettre de progresser. S’adapter à l’adversaire c’est déjà avoir une attitude d’infériorité. On veut les regarder droit dans les yeux, et, avec nos arguments, nos habitudes de travail, faire face. »

    • Facebook
    • Twitter
    • Whatsapp
    • Flipboard
    • Flipboard
    Afficher les commentaires
    0