En 2011, alors qu’il était en poste comme manager de Chelsea, Villas Boas avait accordé une longue interview au Telegraph. Le coach portugais y exposé sa philosophie de jeu. Morceaux choisis:
savoir exactement quel type de joueurs vous avez pour organiser votre équipe de manière offensive — Villas Boas
» Les meilleures équipes de nos jours ne se tournent pas vers la pénétration verticale depuis leurs milieux de terrain, car l’entraîneur préfère les placer en position horizontale et utiliser ensuite le mouvement des ailiers comme source principale pour créer des occasions. En tant qu’entraîneur, vous devez donc savoir exactement quel type de joueurs vous avez et analyser l’équipe afin de décider de la manière dont vous souhaitez organiser votre équipe de manière offensive. Et puis, il y a peut-être des joueurs plus importants que d’autres. » André Villas Boas – The Telegraph 2011
Moi, je suis un fan de 4-3-3 — Villas Boas
« Moi, je suis un fan de 4-3-3, pas de 4-4-2. Je ne vois pas comment un classique 4-4-2 pourrait fonctionner dans la ligue espagnole, où chaque équipe joue 4-3-3 et où la supériorité du milieu de terrain est devenue cruciale. » André Villas Boas – The Telegraph 2011
vous devrez apprendre à les provoquer avec le ballon — Villas Boas
» Vous devez les provoquer avec le ballon, ce que la plupart des équipes ne peuvent pas faire. Je ne le comprends pas. C’est un facteur essentiel dans le jeu. En cette période d’équipes de bloc défensives ultra-basses, vous devrez apprendre à les provoquer avec le ballon. C’est la balle qu’ils veulent, alors vous devez les défier en utilisant la balle comme une carotte. » André Villas Boas – The Telegraph 2011
Il y a plus d’espaces dans le football qu’on ne le pense — Villas Boas
« Il y a plus d’espaces dans le football qu’on ne le pense. Même si vous jouez contre une équipe en bloc, vous obtenez immédiatement la moitié du terrain. Et après cela, en milieu de terrain offensif, vous pouvez provoquer l’adversaire avec le ballon, l’inciter à avancer ou sur le côté et à ouvrir un espace. » André Villas Boas – The Telegraph 2011
