Football Club de Marseille vous propose de suivre l’actualité des concurrents de l’OM (PSG, Monaco, Lyon, Nice, LOSC, Lens…). Le Paris Saint-Germain a vécu une désillusion totale lors de la finale de la Coupe du Monde des clubs, nouvelle compétition organisée par la FIFA. Opposé à un Chelsea bien supérieur, le club de la capitale a été battu lourdement et a vu son rêve de sacre mondial s’envoler.
Les Blues, dominateurs dans tous les compartiments du jeu, se sont imposés avec autorité grâce notamment à un doublé de Cole Palmer, et ont célébré leur titre en compagnie d’un invité surprise : Donald Trump, présent dans les tribunes.
Mais au-delà du score et du trophée, c’est une scène survenue au coup de sifflet final qui fait le tour du monde : celle de Luis Enrique, entraîneur du PSG, giflant l’attaquant brésilien João Pedro.
Paris chute lourdement, le PSG mauvais perdant !
En conférence de presse, le technicien espagnol a tenté de s’expliquer : « Ce qui s’est passé à la fin du match était une situation que tout le monde aurait pu éviter. Il y avait beaucoup de tension. J’ai essayé de séparer les joueurs. Nous aurions tous dû empêcher la situation de dégénérer. » Luis Enrique a également mentionné que des membres des deux équipes, dont l’entraîneur adjoint Enzo Maresca, étaient impliqués dans les bousculades.
Ils ne savent pas perdre. Maintenant, c’est le moment de célébrer
Côté Chelsea, João Pedro a livré sa version des faits au micro de Sportv : « Je suis allé protéger Andrey Santos. Les joueurs du PSG l’entouraient. Je suis intervenu, et dans tout ce bordel, j’ai été poussé. Cela fait partie du jeu. Mais ils ne savent pas perdre. Maintenant, c’est le moment de célébrer. »
Cette séquence jette une ombre sur la fin de tournoi du PSG, déjà pointé du doigt pour son manque de maîtrise émotionnelle en fin de match. La presse étrangère n’a pas tardé à évoquer le comportement des joueurs parisiens comme celui de « mauvais perdants », selon plusieurs titres européens.
