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Édito OM : Eyraud, le point de non retour…

Publié le - Mis à jour le

Édito de Football Club de Marseille sur l’actualité du club…

 

 

Cette semaine, j’ai commis un crime de lèse-majesté : affirmer, sur Twitter mais également dans notre émission l’Apéro Mercato, que le club avait travaillé de manière plutôt satisfaisante ces dernières semaines. Non ! Pas permis ! Pourquoi ? Parce que Eyraud !
D’ailleurs, ce n’est pas tout à fait un crime de « lèse-majesté » plutôt de « lèche-majesté. » Le reproche principal m’étant fait est « la défense de JHE » supposant implicitement une sorte de corruption intellectuelle du président du club m’offrant, contre bonne presse, de menues infos.

 

Sans doute le moment idoine pour lui renvoyer un texto ? Avec un peu de chance, celui-là ne sera pas royalement ignoré comme mes précédentes tentatives… Qui sait ?

 

 

Trêve de pleurnicheries (ouin, ouin, les supporters y sont pas contents de moi, ouin, ouin, le président du club ne répond pas à mes textos) et venons-en aux faits. Au fait.
Quoiqu’il fasse, Jacques-Henri Eyraud est désormais repoussé par les amoureux du club.

 

 

 

Même Villas-Boas n’est pas suffisant pour rétablir l’équilibre…

 

 

Trop, c’est trop. Le passif est trop lourd.
Quelques semaines de bonne gestion, collective d’ailleurs plutôt qu’individuelle, ne peuvent effacer, ni même alléger, le terrible désamour autour de sa personne construit patiemment par le décideur numéro 1 de l’OM Champions Project… De recrutements ratés à gestion désastreuse du staff (prolongation de Garcia, arrivée d’Aldridge dans les roues de Zubi lui-même viré contre l’avis d’AVB) en passant par des déclas en titane, le point de non-retour a été franchi ! Pour arriver à un équilibre dans la balance, il faudra beaucoup plus que les bonnes nouvelles de ces dernières semaines…

 

 

Surtout si ces dites-bonnes nouvelles sont perturbées quelques jours plus tard par les tribulations Twitteriennes du nouveau Head of Zeb… heu business. Head of Business.

 

 

Et pourtant Villas-Boas est là !

La figure d’un entraîneur populaire, qui a réussi à se faire accepter par le peuple bleu et blanc, suffit ces dernières décennies à offrir un peu d’ombre à un président honni. Ça allait mieux pour Vincent Labrune quand Bielsa était là. Aucune gronde populaire contre Dassier tant que Deschamps gagnait des titres. Mais même la côte de popularité d’AVB n’arrange pas le cas de JHE.

 

 

Même ça, ce n’est pas à mettre à son crédit. Ou plutôt on s’en tape si c’est à son crédit ou pas à son crédit, « on a failli perdre le Portugais par la faute d’Eyraud de toute façon ! » Voilà ce qu’on retient ! Le lissage de Payet ? « Ça va, c’est tombé tout cuit dans la bouche d’Eyraud et il n’avait qu’à pas lui donner un tel salaire au départ ! » Et puis il y a tout le reste, les déficits, une communication qui passe mal et une attitude de N+1 imposée à des supporters rêvant plutôt de s’éloigner du quotidien de l’entreprise lorsqu’ils vont vers leur amour… Quelque part entre la tisane et la prolongation de Garcia, le lien s’est irrémédiablement cassé.

 

 

Frank, give me a call…

 

 

Donc voilà, j’aurais beau faire du « Damage Control » pour tenter de gratter des exclus mercato, ça ne changera pas grand chose aux réactions sanguines et spontanées de notre audience. Le problème est ailleurs. Dans le symbole toujours en place des espoirs déçus du grand projet OM Champion.

 

 

Ok, Jacques-Henri ne me répond pas au téléphone mais Frank, si un jour tu veux m’appeler, j’aurais bien quelques conseils pour toi notamment si tu veux faire taire ces incessantes rumeurs de vente.
The first one is for free.

« Changing your CEO might seem like a good idea. If you want peace with the fans, change the symbol of your past mistakes. The urge of having a new owner will probably be way less intense in the hearts of many people… »

You know my name (Look up the number)

 

 

 

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