PUBLICITÉ
PUBLICITÉ
Info Chrono
  • Loading
Précédent Suivant
PUBLICITÉ

Affaire des Transferts OM : Le grand déballage de Labrune

Mis à jour le - Publié le
La rédaction de Football Club de Marseille est composé de journalistes suiveurs de l'OM (olympique de Marseille) depuis plus de 10 ans. Nos journalistes couvrent l'actualité de l'OM et du mercato OM quotidiennement.
Vincent Labrune

Ce samedi l’Equipe Mag sort une enquête fouillée sur les coulisses de l’enquête judiciaire qui vise l’OM autour de commissions dans le cadre de plusieurs transferts. L’ex-président olympien Vincent Labrune a lâché énormément d’éléments aux enquêteurs, des extraits d’auditions publiés dans l’Equipe Mag ce samedi.

 

 

 

« Je vois cette ville comme quelque chose de terrifiant »

 

Labrune dépassé par les événements ?

 

Labrune confirme aux trois enquêteurs que « verser des commissions indues à des agents fait partie du système. » Une déclaration lourde de sens qui appelle une justification de l’ancien président de l’OM : « Je me dis que jamais je ne travaillerai à l’OM (…) Je vois cette ville comme quelque chose de terrifiant. (…) Je me retrouve du jour au lendemain à recevoir des coups de fil de tout un tas de personnes interlopes qui appelaient avec insistance pour entrer en contact avec Robert ou me faire passer le message que Robert leur devait de l’argent. »

 

 

 

 

 

 « Je n’en dormais plus la nuit »

 

Labrune charge Acariès

 

« Louis Acariès m’indiquait que Robert lui devait de l’argent et qu’il devait le rembourser. Cela s’est traduit par un harcèlement psychologique, notamment par des appels téléphoniques. Je n’en dormais plus la nuit. Parfois, il pétait les plombs en nous disant que cela n’allait pas se passer comme ça. Il n’y avait pas de menaces physiques à proprement parler. Il employait le ton qu’il fallait. »

 

 

 

 

 

« José est le point d’entrée des agents malveillants »

 

Labrune plombe Anigo

 

« Vu le comportement de José Anigo au quotidien dans le travail, c’est très difficile pour moi de le charger et de le blâmer. II jouait le rôle de tampon avec les agents. Et cela m’arrangeait bien (…) José Anigo ne se cache pas des relations qu’il a pu avoir avec les voyous marseillais. Mon analyse est la suivante : José est le point d’entrée des agents malveillants et proches des voyous dans le système, au vu de ses amitiés. Mais, pour moi, je pense que José subit également le système, et ce, peut-être, dès l’origine. »

 

 

Retrouvez le dossier complet dans l’Equipe Mag a paraitre ce samedi

    • Facebook
    • Twitter
    • Whatsapp
    • Flipboard
    • Flipboard
    Afficher les commentaires
    0