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Labrune, supporters, exploitation du stade… Les 3 infos qu’il ne fallait pas manquer

Publié le - Mis à jour le
La rédaction de Football Club de Marseille est composé de journalistes suiveurs de l'OM (olympique de Marseille) depuis plus de 10 ans. Nos journalistes couvrent l'actualité de l'OM et du mercato OM quotidiennement.
Vincent Labrune

Le grand retour de Labrune…

 

Vincent Labrune n’a pas quitté le football depuis son départ de l’OM. Au-delà de son poste à la Ligue, l’ancien président de l’OM conseille certains présidents de L1. Il raconte sa nouvelle vie au quotidien l’Equipe ce mardi. Le personnage n’a pas changé, le roi du « storytelling »…

 

Je ne suis pas agent, je n’ai jamais voulu être agent et je ne le serai jamais – Labrune

 

« Même chose quand Bernard Caïazzo me dit qu’il cherche un ailier, je vais lui dire ce que je pense. Mais il ne va pas appeler que moi. Vous m’avez parlé d’une dizaine de joueurs sur lesquels j’aurais donné mon avis, eh bien je peux vous en citer une quinzaine de plus. Et alors ? C’est quand même incroyable ! (Il répète.) Je ne suis pas agent, je n’ai jamais voulu être agent et je ne le serai jamais.  (…) J’ai une vision « politique » de mon rôle. Je ne suis guidé que par une chose, la compétitivité du football français, et l’augmentation des ressources des clubs. Les agents qui ne m’aimaient pas à Marseille ne m’aiment toujours pas aujourd’hui et je m’en moque. On a le droit d’aider un ami qui est bloqué dans un dossier. Et ce n’est pas un vrai boulot. Je suis au confluent de plusieurs informations, comme dans l’histoire du Guingampais Salibur. J’ai le droit d’être créatif ! Le monde a changé. Le football français a changé. Il faut évoluer. J’ai une vision transverse. Ça me fait du bien d’aider les autres. Ce n’est pas de ma faute si vous considérez que je suis le premier à le faire. Si je gêne certains agents, ce n’est pas mon problème. J’ai envie d’être sympa. Je profite. Je suis désolé. C’est la fin d’un monde. Il faut vivre avec son temps. Je ne suis le conseiller occulte de personne. Mais je suis ami avec beaucoup de monde (il sourit). Je n’ai de leçon de morale à recevoir de personne.
Vincent Labrune – L’Equipe



L’OM et les groupes de supporters discutent…

 

 

Alors que l’OM a décidé de ne pas participer au financement du déplacement des supporters marseillais en Turquie pour le match de ce jeudi Konyaspor – OM en Europa League, le dialogue reste ouvert entre les groupes de supporters marseillais et la direction olympienne.

 

Eyraud a reçu les représentants des supporters

 

Concernant le déplacement de ce jeudi, il n’y pas eu d’interdiction. Les supporters marseillais, en nombre réduit, on financé eux même le voyage. Le quotidien La Provence explique qu’en parallèle, la direction olympienne, les associations de supporters et la préfecture discutent. Les débordements d’avant OM-PSG, l’altercation avec Evra sont au centre des discussions : « Lundi dernier, leurs responsables ont d’ailleurs été reçus par le président Jacques-Henri Eyraud et le directeur de l’organisation, de la sûreté et de la sécurité du club, Thierry Aldebert. Tous les thèmes du moment (Evra, fumigènes, prochains déplacements) ont été évoqués. Une rencontre qui a en a précédé une autre, jeudi dernier, avec le Préfet de police des Bouches-du-Rhône, Olivier de Mazières. Fraîchement nommé, celui-ci a adopté un ton des plus fermes face aux représentants des associations. »

 

Il y a eu des débordements dimanche à Bordeaux, cependant si des supporters bordelais et marseillais sont rentrés sur la pelouse après le match, il n’y a pas eu d’affrontement direct.



Le président d’AREMA penche désormais plutôt pour une exploitation partagée avec l’OM

 

 

 

En marge de la présentation du livre « La Stade, passionnément (1937 -2017) », Bruno Botella, président d’AREMA nous a accordé quelques minutes pour répondre à nos questions sur les négociations avec l’Olympique de Marseille concernant l’exploitation du Stade Vélodrome. Il y a quelques semaines, il nous confiait que l’OM avait plutôt la volonté de récupérer « l’intégralité de l’exploitation commerciale« . Aujourd’hui, il nous a plus parlé « d’exploitation partagée« …

 

 

A lire aussi :  LE PRÉSIDENT D’AREMA NOUS EN DIT PLUS SUR LES NÉGOCIATIONS AVEC L’OM

 

 

Dans la présentation à la presse du livre, vous avez insisté sur le côté polyvalent du Stade, qui n’a pas seulement accueilli du foot au cours de sa longue histoire. Est-ce que cet aspect du Vélodrome pourrait disparaître si l’OM en récupérait l’exploitation intégrale ?

 

 

 

Bruno Botella : « On a aussi beaucoup parlé football aussi dans la présentation du livre. Les auteurs en ont beaucoup parlé. Mais c’est vrai qu’on fait plein de choses dans le Stade et qu’il y a toujours eu plein de choses dans le Stade.

 

C’est certainement l’une des enceintes au monde où se sont déroulés le plus grand nombre d’événements de toutes natures. C’est aussi l’identité de ce stade. C’est ce qu’attendent les marseillais.

 

Après pour revenir à votre question sur l’exploitation partagée avec le club, je ne pense pas qu’il soit dans l’idée de qui que ce soit de ne faire plus que du foot. On a garanti sur une longue durée des recettes d’exploitations très conséquentes à la ville. On honore ces versements depuis le lancement de l’exploitation du Stade. Pour arriver à équilibrer nos comptes, quelque soit l’exploitant, il faut accueillir du foot, bien évidemment, mais aussi faire plein de choses au quotidien. Parce que sinon ça ne marche pas.

 

L’idée c’est plus un modèle intégré, comme à Lyon par exemple, d’une exploitation partagée entre le club et son exploitant. Je pense que c’est ça la solution. »

 

La suite de l’interview disponible ici

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