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OM : Ça s’annonce compliqué pour Amine Harit

Publié le - Mis à jour le
Journaliste professionnel suiveur de l'OM (olympique de Marseille). Couvre l'actualité de l'OM et du mercato OM pour le média marseillais Football Club de Marseille. Réalisateur de l'émission Débat Foot Marseille ("la Voix"). Formé à l'école de journalisme de Marseille.
Amine Harit of Morocco during the international friendly match between Morocco and Chile played at RCDE Stadium on September 23, 2022 in Barcelona, Spain. (Photo by Colas Buera / Pressinphoto / Icon Sport) - Photo by Icon sport

Gros coup dur cette dernière semaine pour Amine Harit, n’est pas appelé avec le Maroc pour le rassemblement. Dans le podcast Afrique Football Club, Nabil Djellit est revenu sur cette absence. 

 

Après une CAN ratée avec le Maroc, Amine Harit est mis de côté par Walid Regragui, le sélectionneur du Maroc. Ce lundi, L’Equipe a publié un épisode du podcast « Afrique Football Club », où le cas du milieu offensif est évoqué.

 

Le Maroc a récupéré deux cracks avec Ben Seghir et Brahim Diaz

« En attaque, le Maroc a du matos. A voir maintenant quelle sera la formule. Il y a des joueurs qui ont été mis de côté. Harit, le Marseillais, on verra s’il va revenir ou pas », se questionne Djellit. Seulement, cette possibilité semble compliquée surtout avec la grosse concurrence qu’il commence à y avoir au Maroc à ces postes offensifs. En effet, le Madrilène Brahim Diaz a récemment été appelé et pourrait bien prendre la place du Marseillais dans le onze du Maroc.

 

« Brahim Diaz, c’est le grand coup avec Ben Seghir qu’a réussi le Maroc. Ils ont récupéré un joueur qui est en pleine forme du côté du Real Madrid. Le fait qu’il y ait eu pas mal de blessures lui a permis de prendre de la place. Un joueur qui a un passé assez fou avec Manchester City, AC Milan, Real Madrid… Ce sera un atout maître pour le Maroc. Ça faisait longtemps, il y avait une drague réciproque avec la sélection, il avait joué un match amical mais ça ne comptait pas. Là c’est la grosse prise du Maroc. La deuxième, c’est Ben Seghir qui pouvait aussi jouer avec la France. Ses deux parents sont marocains, c’était donc le choix du coeur », expliquait Hervé Penot dans le podcast de L’Equipe. 

 

 

 

 

 

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