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OM : Diouf détaille les deux règles de sa gestion du mercato et tacle celle de Labrune…

Publié le - Mis à jour le
La rédaction de Football Club de Marseille est composé de journalistes suiveurs de l'OM (olympique de Marseille) depuis plus de 10 ans. Nos journalistes couvrent l'actualité de l'OM et du mercato OM quotidiennement.
Pape Diouf - Ancien Président de l'Olympique de Marseille (OM)

 

 

Sa présidence a laissé un bon souvenir aux supporters. Pape Diouf n’a pas été un président parfait pour l’OM, mais il a très bien géré le club et su défendre ses intérêts. Dans un entretien accordé à So Foot, il dévoile le secret de son mercato à l’OM avec entre les lignes une critique acerbe de la gestion Labrune…

 

« Nous avons pris des garçons comme Mandanda, Taiwo, Valbuena, Kaboré »

Diouf a misé sur la « post-formation »

« Lorsque je suis arrivé à la tête du club, c’était le moment où le propriétaire avait décidé de ne plus mettre d’argent pour quelques raisons que ce soit. Il nous fallait inventer une méthode de gouvernement. Nous reposer sur le centre de formation n’était pas possible, puisque l’arrêt Bosman venait de rendre obsolète toute formation à la française. Jouer du carnet de chèques n’était pas possible. Donc il nous fallait trouver une troisième voie. C’est ce que j’ai appelé la post-formation. Ça nous a amenés à prendre des garçons qui n’étaient plus tout à fait en centre de formation, mais qui n’étaient pas encore tout à fait aguerris. C’est ainsi que nous avons pris des garçons comme Mandanda, Taiwo, Valbuena, Kaboré et bien d’autres. Ils ne nous ont pas coûté très cher et ils ont beaucoup apporté après. Ça, c’était la première règle. »

 

 

 

 

 

« Respecter totalement et complètement la loi sportive et la loi tout court »

Diouf estime que l’OM peut être dirigé sans influences extérieures…

« L’autre était de respecter totalement et complètement la loi sportive et la loi tout court. Avant la peur du gendarme, c’était par conviction. Ça nous a amenés à gérer le club le plus proprement possible. Quand on entend aujourd’hui que le club est infesté de gens peu recommandables, ça me paraît toujours assez fantasmatique, entre guillemets. Pour moi, on n’a jamais été menacé ou fait l’objet d’une quelconque intimidation ou d’un quelconque chantage. Nous avons su mener notre barque sans nous mêler de ce qui ne nous regardait pas. Les règles que nous avons mises en place étaient simples. »

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