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OM: L’image pleine d’émotion entre Boli et Papin à la messe de Bernard Tapie

Publié le - Mis à jour le
Bernard TAPIE
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Bernard Tapie est décédé ce dimanche. Une disparition qui affecte le monde du football, et la ville toute entière de Marseille. C’est d’ailleurs deux joueurs marseillais qui ont porté son cercueil lors de la première messe à Paris en son honneur : Basile Boli et Jean-Pierre Papin…

 

 

La messe des obsèques de l’ancien président de l’Olympique de Marseille aura lieu ce vendredi 11h à Marseille, à la cathédrale de la Major. Il sera ensuite inhumé au cimetière de Mazargues dans le 9e arrondissement de la ville, pas loin de l’enceinte marseillaise.

Mais ce mercredi, une première messe a eu lieu à Paris dans l’église Saint-Germain, c’est Basile Boli et Jean-Pierre Papin qui ont porté le cercueil avec d’autres proches de Bernard Tapie. Les deux hommes se sont serrés fort dans les bras par la suite, sous les applaudissements de quelques supporters de l’OM présents, qui ont scandé le nom du Boss.

Jeudi, les supporters marseillais pourront saluer une dernière fois le président emblématique olympien. En effet, une chapelle ardente sera présente au stade Vélodrome entre 16h et 20h, comme l’a confirmé son épouse à l’AFP.

 

 

 

Eric Di Meco était particulièrement ému au moment d’évoqué la disparition de Bernard Tapie. Ce dernier a laissé couler quelques larmes sur RMC.

 

Tapie a même été dur dès fois avec moi — Di Meco

 

« La journée a été dure. C’est huit ans de ma vie. On s’attendait à ce qu’il parte, puisqu’on avait des nouvelles pas très bonnes. Moi, j’ai une relation particulière avec lui. Ça a toujours été mon patron. Je l’ai toujours appelé ‘président’, je l’ai toujours vouvoyé. Il a même été dur dès fois avec moi. Il était tellement exigeant que beaucoup de mes copains ont été obligés de partir du club quand lui voulait avancer et qu’il sentait que ça n’avançait plus. Ça aurait pu être mon cas. J’ai une pensée pour son épouse, qui a souvent œuvré pour que je reste, il me l’avait avoué un jour. Je suis parti en conflit avec lui. On ne s’est plus parlé pendant un long moment et on s’est recroisés en vacances en Tunisie. On a repris contact à ce moment-là. J’ai eu beaucoup de chance de croiser cet homme-là et de travailler avec lui. Parce qu’il y a des hommes qui sortent de l’ordinaire et lui en faisait partie. Je n’ai jamais été un de ses fils dans le vestiaire. Mais j’échangeais par texto à la fin. Et on avait une affection particulière l’un envers l’autre, par rapport à ce qu’on a vécu. » Eric Di Meco – source : RMC (03/10/2021)

 

 

 

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