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Ounahi et son biscuit nantais…

C’est gonflant ces matchs à 19h en semaine. Cela n’a pas empêché les olympiens de faire le boulot pour l’emporter à Nantes. C’était loin d’être évident, surtout qu’il était visible que si les joueurs de Tudor ne se sont pas ménagés, ils n’ont pas toujours eu, notamment en première mi-temps, la capacité technique, la vitesse d’exécution, pour prendre l’avantage, la meilleure occasion était pour l’Ukrainien Malinovskyi qui avait filé vers le but après une interception, crochet extérieur pied gauche suivi d’une tentative de frappe croisée toujours du gauche mais le défenseur était revenu pour le contrer (31e)

0-0 à la mi-temps, il fallait monter le niveau d’un cran mais on voyait surtout les velléités nantaises  pour jouer plus haut, avant que les olympiens ne commencent à se montrer de plus en plus tranchants.

Il y a eu la bonne initiative de Veretout pour s’enfoncer dans la surface mais il se trompait de côté au moment de frapper alors que le but était ouvert (53e).

La délivrance arrivait à la 54e avec une belle accélération de Tavares parti du côté gauche qu’il avait regagné après la sortie de M’Bemba, il se recentrait voyait l’appel d’Ünder qui ne pouvait saisir le ballon, serré de près par Joâo Victor qui mettait un csc. Obrigado mon poto (57e) 0-1.

Payet entré en jeu à la place de Sanchez (73e) s’illustrait par une tentative de lob, il échouait de pas grand chose. Clauss en essayait un après une belle passe de Guendouzi, ça passait juste à côté (77e).

Le bloc olympien était un peu trop bas sur la fin, le commentateur se permettait même d’affirmer que le score allait bouger mais il envisageait un but nantais. Il avait perdu de vue que le coach marseillais est un ancien de la Juve et que c’est un ancien défenseur. Tu passes pas, point final.

Et puis le point d’orgue, un petit chef d’œuvre du petit Azzedine Ounahi qui vient juste de débarquer sur le Vieux-Port.

Bravo à tous, Ünder s’est acharné, même s’il apparaît toujours brouillon.. Malinovskyi est la merguez de l’équipe, mais on est encore patient. Attention à lui, la concurrence est là.

À l’heure où j’écris on est deuxième. Mais le mois de février est pour nous. Vamos. Pablo, je t’aime.

Vive le grand Roger Magnusson !

Thierry B. Audibert

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