PUBLICITÉ
PUBLICITÉ
departement 13
Info Chrono
  • Loading
Précédent Suivant
PUBLICITÉ

Quand Fletcher raconte son transfert rocambolesque à l’OM !

Publié le - Mis à jour le
La rédaction de Football Club de Marseille est composé de journalistes suiveurs de l'OM (olympique de Marseille) depuis plus de 10 ans. Nos journalistes couvrent l'actualité de l'OM et du mercato OM quotidiennement.
Steven Fletcher - 07.02.2016 - Marseille / Paris Saint Germain - 25e journee de Ligue 1 Photo : Manuel Blondeau / Icon Sport

Steven Fletcher n’aura évolué que six petits mois à l’Olympique de Marseille en 2016. L’attaquant écossais était très surpris d’avoir cette opportunité…

 

Le 31 janvier 2016, les supporters marseillais découvraient avec étonnement le nom de ce nouvel attaquant qui débarquait en prêt pour six mois : Steven Fletcher. Pas vraiment sur la pente ascendante dans sa carrière, il avait constitué une opportunité de circonstance pour la direction de l’époque. 

 

Le joueur a raconté il y a quelques mois les détails de ce transfert rocambolesque…

 

« Marseille te veut. » « Oui c’est ça, bonne blague. »

 

 

« En fait, je n’avais pas prévu de bouger. Je savais que le coach ne comptait plus sur moi mais je me disais « j’irais au bout de mon contrat et je verrais ce que je ferais cet été. » C’était pratiquement le dernier jour du mercato, un dimanche, il me semble. Je suis dans mon lit en train de m’endormir. Ma compagne me réveille « ton téléphone n’arrête pas de sonner, c’est ton agent. » Donc je me réveille, je décroche un peu sonné : « Oui qu’est-ce qu’il y a ? » Il me répond : « Marseille te veut. » Je lui lance : « oui c’est ça, bonne blague. » Mais il insiste, il me dit qu’il a besoin de donner une réponse rapide. Je demande deux minutes, j’avais un groupe dans lequel on échangeait des messages avec mes coéquipiers de l’époque. Je leur explique, ils me disent touts que je dois y aller, saisir cette chance. Donc je rappelle mon agent et lui dit que si ça peut se faire, j’irais. Il me demande de préparer mon sac mais d’aller à l’entraînement normalement le lendemain. Le lendemain, le président de Sunderland me demande de le rejoindre dans son bureau. Il me dit qu’il ne peut pas me laisser partir. À ce moment précis, mon visage s’est décomposé. Il a compris, il a passé quelques coups de fil et j’ai pu partir. Je suis parti dire au revoir aux mecs puis un jet privé m’attendait à l’aéroport. »
Steven Fletcher – Source : Open Goal

 

    • Facebook
    • Twitter
    • Whatsapp
    • Flipboard
    • Flipboard
    Afficher les commentaires
    0