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Rami, Olmeta, Eyraud… ce qu’ils faisaient lors de France – Brésil 1998

Publié le - Mis à jour le
La rédaction de Football Club de Marseille est composé de journalistes suiveurs de l'OM (olympique de Marseille) depuis plus de 10 ans. Nos journalistes couvrent l'actualité de l'OM et du mercato OM quotidiennement.

 

Ce mardi, France Football consacre une partie de son hebdomadaire à la finale de la Coupe du Monde France – Brésil de 1998. Le magasine propose 98 récits de personnalités de football, on vous en propose trois :

 

 

Je pensais plutôt à faire le con qu’à suivre le foot à la télé – Rami

 

 

« J’étais en bas de chez moi, dans mon quartier de l’Agachon, à Fréjus. Je n’étais pas devant ma télé, mais j’entendais les gens crier par les fenêtres. À chaque fois que ça s’enthousiasmait, on se rapprochait pour regarder un but ou une action chaude. J’étais avec mes potes, Reda, Kader, Saïd et Mohamed. J’ai donc vécu cette finale de loin, en la suivant, mais sans la regarder vraiment! Pourtant, après j’ai fait la fête avec tout le monde. J’ai fait sauter des pétards. À douze ans et demi, je pensais plutôt à faire le con qu’à suivre le foot à la télé.» Adil Rami – France Football

 

 

 

Barthez a escaladé les tribunes pour me remettre ses gants – Olmeta

 

 

«J’étais au Stade de France. À la fin du match, Fabien Barthez a escaladé les tribunes pour me remettre ses gants. Il ne m’a pas dit pas grand-chose, il avait les larmes et m’a dit : “Pascal, c’est pour toi.” Moi aussi j’avais les larmes de joie, pour lui, pour tout le monde, c’était magique. Après le match, je suis rentré chez moi avec deux potes, à Paris, on s’est assis autour d’une table et on a bu les meilleures bouteilles de vin. On ne va pas dire le nombre, ça va faire trop, mais voilà…» Pascal Olmeta – France Football

 

 

 

J’étais dans le virage où Zinédine Zidane a marqué ses deux buts – Eyraud

 

 

 « J’étais dans le virage où Zinédine Zidane a marqué ses deux buts. À trente mètres de la cage, côté droit quand on se retrouve en face du but. J’avais payé ma place 900 francs à l’époque avec des potes. On avait fait l’aller et le retour en RER. Je me souviens du retour qui était merveilleux. Tout le monde chantait. Il y avait une telle énergie, du bonheur dans l’air. » Jacques-Henri Eyraud – France Football

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