Alors que l’Olympique de Marseille cherche activement à dégraisser son effectif avant la reprise de la saison, le dossier Azzedine Ounahi connaît un nouveau rebondissement. De retour de prêt après une saison réussie au Panathinaikos, le milieu de terrain marocain ne devrait pas s’éterniser sur la Canebière. Si plusieurs clubs ont manifesté un intérêt pour l’international de 25 ans, un seul a formulé une offre concrète : le Spartak Moscou.
Le club russe a proposé 12 millions d’euros à l’OM pour s’attacher les services de l’ancien Angevin. Une proposition jugée satisfaisante par la direction olympienne, qui avait validé la transaction. Le Spartak s’engageait même à régler l’intégralité du montant en une seule fois, ce qui représentait un avantage financier significatif pour les finances marseillaises, à une semaine de la reprise du championnat.
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Mais cette opération a finalement capoté. Selon les informations de Foot Mercato, Azzedine Ounahi a décliné l’offre malgré un salaire estimé à 2,5 millions d’euros annuels. Le joueur n’a pas été séduit par le projet sportif proposé par le club moscovite. “Le Marocain attend un meilleur challenge sportif”, affirme le média.
🚨 Info : Azzedine Ounahi 🇲🇦
Le joueur n’était pas emballé par le Spartak Moscou. Il a décidé de refuser malgré un salaire très intéressant. ❌
L’OM espérait cette vente car le Spartak payait 12M en une seule fois.
[avec @Santi_J_FM et @sebnonda] https://t.co/HdtkXZ1Ue0
— Hanif Ben Berkane (@HanifBerkane) June 29, 2025
Ounahi refuse l’offre du Spartak, l’OM pouvait récupérer 12M€ cash !
Ce refus complique les plans du club phocéen, alors que le joueur n’entre pas dans les plans de Roberto De Zerbi pour la saison 2025-2026. Malgré un profil technique intéressant, Ounahi ne figure plus dans la stratégie du nouveau staff, qui souhaite remodeler le milieu de terrain.
À sept jours de la reprise, l’OM se retrouve donc toujours avec Ounahi dans ses rangs, sans solution de sortie immédiate. Le mercato est encore long, mais l’échec de cette vente avortée pourrait retarder certaines manœuvres marseillaises sur le marché.
