Le journaliste Nabil Djellit a publié plusieurs messages sur son compte X dans lequel il s’en prend vivement à plusieurs acteurs de l’Olympique de Marseille. Dans son analyse, il critique à la fois certains joueurs, l’entraîneur Roberto De Zerbi mais aussi le président Pablo Longoria, qu’il juge responsable de la situation actuelle du club phocéen.
Le ton est sans détour, il charge le niveau de la défense et Balerdi en particulier. « Si Aguerd arrive vraiment. C’est Beckenbaeur à côté de Balerdi and co… Balerdi MVP : un but, une passe décisive. De Zerbi, 11 défaites en 37 matches sur un banc de L1. Probablement un génie incompris… » écrit Nabil Djellit, visant directement Leonardo Balerdi et l’entraîneur marseillais. Le défenseur argentin, souvent critiqué pour son irrégularité, se retrouve de nouveau au centre des débats.
Si Aguerd arrive vraiment. C’est Beckenbaeur à côté de Balerdi and co
De Zerbi, 11 défaites en 37 matches sur un banc de L1. Probablement un génie incompris… #OLOM
— Nabil Djellit (@Nabil_djellit) August 31, 2025
Mais l’analyste ne s’arrête pas là. Il pointe également le recrutement avec des doutes autour d’Amine Gouiri : « La hype Amine Gouiri plombée par le recrutement dans son secteur de jeu… Dans 6 mois, il est possible qu’il ne soit plus là. » Une remarque qui traduit son scepticisme quant à la stratégie sportive mise en place par Longoria.
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Le président marseillais est d’ailleurs directement visé : « Voilà ce qu’est devenu l’OM de Longoria, un aéroport… » Une formule choc qui illustre, selon Djellit, un manque de cohérence dans la politique du club.
La hype Amine Gouiri plombée par le recrutement dans son secteur de jeu… Dans 6 mois, il est possible qu’il ne soit plus là. Voilà ce qu’est devenu l’OM de Longoria, un aéroport… #OLOM
— Nabil Djellit (@Nabil_djellit) August 31, 2025
Voilà ce qu’est devenu l’OM de Longoria, un aéroport
Au-delà du terrain, le journaliste met aussi en cause la gestion de certains dossiers. Il prend l’exemple d’Adrien Rabiot, proche de s’engager au Milan AC selon lui : « Evidemment que la gestion du cas Rabiot a fragilisé l’OM en début de saison. Comme évoqué dans l’Equipe, Rulli a même pensé à partir… »
Pour Djellit, Longoria porte une part de responsabilité : « Si c’était à refaire, Longoria gérait il la situation de la même manière ? J’ai peu de doute sur la réponse… » Une critique supplémentaire qui s’ajoute à une série de reproches virulents.
En pleine période charnière de la saison, ces déclarations risquent de relancer le débat autour de la direction prise par l’OM, entre recrutement contesté, résultats irréguliers et pression médiatique toujours plus forte.