La défaite de l’OM sur la pelouse du LOSC (1-0) lors de la 15e journée de Ligue 1 a suscité de nombreuses réactions dans le paysage médiatique. Parmi elles, celle du journaliste Nabil Djellit a particulièrement retenu l’attention. Très suivi sur les réseaux, il a livré une analyse brute et sans détour, fidèle au ton qu’on lui connaît. Sur son compte X, il a résumé la prestation marseillaise en quelques mots qui en disent long : « L’OM a sorti un match horrible. Ça faisait un moment… En dehors de Greenwood, seul dans ce marasme, il ne s’est rien passé. »
L’OM a sorti un match horrible. Ça faisait un moment… En dehors de Greenwood, seul dans ce marasme, il ne s’est rien passé. #LOSCOM
— Nabil Djellit (@Nabil_djellit) December 5, 2025
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Ce commentaire intervient dans un contexte où les performances de l’Olympique de Marseille suscitent de plus en plus d’inquiétudes. Face à Lille, les Marseillais ont affiché une absence d’intensité, d’idées et de cohérence collective. Une prestation d’autant plus marquante que, dans le même temps, leur entraîneur Roberto De Zerbi a exprimé sa profonde colère en conférence de presse, qualifiant cette rencontre comme l’une des pires sous sa direction.
Le constat de Djellit rejoint celui de nombreux observateurs : l’OM traverse un passage difficile, marqué par un manque de constance et d’impact. Son message souligne aussi l’isolement de Greenwood, qu’il décrit comme le seul joueur à surnager dans un collectif défaillant. Une remarque qui reflète visuellement ce que beaucoup de supporters ont ressenti devant le match : une équipe amorphe, incapable de montrer le moindre signe de révolte.
Une crise de jeu qui s’installe ?
La sortie de Nabil Djellit n’est pas anodine. Elle traduit un sentiment général autour de la dynamique actuelle de l’OM, où les prestations se succèdent sans véritable amélioration. Dans ce contexte, la frustration grandit chez les supporters comme chez les analystes. Le mot « horrible », utilisé par le journaliste, témoigne de la sévérité du jugement porté sur cette rencontre, mais aussi de la lassitude face à des comportements jugés insuffisants.