Le début de la saison de Lyon a été plus que compliqué avec deux coachs licenciés et une bataille pour sortir de la zone de relégation. D’après Le Progrès, ce n’est pas encore terminé avec Fabio Grosso !
Lyon a très mal démarré sa saison mais tente de se reconstruire autour de Pierre Sage. Le coach intérimaire vient remplacer Fabio Grosso qui a été licencié il y a quelques semaines après avoir à son tour remplacé Laurent Blanc démis de ses fonctions en tout début de saison.
Le coach italien n’a pas apprécié la façon dont il a été mis dehors par John Textor. Le Progrès expliquait ce lundi que le champion du monde 2006 exige une somme d’argent à Lyon ! Une somme entre 1,5 et 2 millions d’euros est évoquée pour ce licenciement, en plus de celui de son staff : l’adjoint Raffaele Longo, les deux préparateurs physiques, Francesco Vaccariello et Vittorio Carello et l’analyste Mauro Carretta qui avaient tous un contrat expirant en juin 2024.
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Il faut rester vigilants et laisser les joueurs mobilisés dans le travail — Sage
Côté sportif, tout semble aller pour le mieux avec le nouveau coach Malgré de la confiance retrouvée et des résultats après la lourde défaite face à l’OM, Lyon n’est toujours pas sorti de la galère. Pour Pierre Sage, entraîneur intérimaire qui a remplacé Fabio Grosso, son équipe est toujours malade et il ne faut pas s’emballer.
« On se rend compte que dans les matches les choses ne sont pas assez stables pour dire qu’on est guéris. Après, le football s’organise entre deux valeurs : la joie de jouer et la cohésion. C’est vraiment le scénario de ce dernier match à Monaco (1-0), il y a eu beaucoup de cohésion, de manière à avoir de la joie à la fin. Il y a plus de sourires, ça rend l’entraînement plus léger… Mais le statut de l’équipe change à l’extérieur, vos questions changent, donc il faut rester vigilants et laisser les joueurs mobilisés dans le travail car c’est seulement le travail qui les laisse performants. Entre Lens et Monaco, c’est le scénario qui change. À Monaco, on est tombé sur quelque chose qu’on n’avait pas encore vécu : souffrir à 0-0, avec un adversaire qui nous met à mal. Mais les joueurs ont apporté les bonnes réponses et ça crée une mémoire d’équipe sur laquelle on pourra s’appuyer si on le revit. On doit être bon dans tous les moments du jeu », explique le coach lyonnais en conférence de presse il y a quelques jours.
