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Rachat du club : Comment Frank McCourt et Jacques-Henri Eyraud sont arrivés aux commandes de l’OM

Publié le - Mis à jour le
Frank McCourt - crédit image Footballclubdemarseille.Fr

L’Équipe révèle dans son édition du jour les arrivées de Frank McCourt et Jacques-Henri Eyraud à la tête de l’OM. Immersions…

 

 

 

 

Le 17 octobre 2016. Voici la date à laquelle Frank McCourt décidera de racheter l’Olympique de Marseille à Margarita Louis-Dreyfus. L’homme d’affaire américain ramènera avec lui un certain Jacques-Henri Eyraud. Quasiment quatre ans plus tard, les deux hommes sont toujours aux commandes du club. L’Équipe nous dévoile leur arrivée à Marseille. Extraits

Discussions Quillot – McCourt

 

 

« Lors de notre premier rendez-vous (fin juin 2016), McCourt me dit qu’il souhaite investir dans le football en Europe mais qu’il hésite entre l’Angleterre, la France et l’Espagne. Il a besoin de connaître nos intentions pour développer la valeur de la L1 à l’international et je lui raconte nos projets. On échange. À l’issue de la journée, il me dit qu’il aimerait bien regarder le dossier de l’OM. Après, j’ai fait le go between en présentant Frank McCourt à la banque Rothschild, qui avait un mandat de Margarita Louis-Dreyfus. »
Didier Quillot – Source : L’Equipe 22/09/20

 

 

« Dans une deuxième phase, McCourt me dit : « Je vais chercher un CEO » (chief executive officer, directeur général). Il se trouve que Jacques-Henri Eyraud, que je connaissais de l’époque où j’étais à Orange, était venu me voir au printemps parce qu’il avait lui-même le projet de racheter l’OM, mais avec un autre investisseur américain. J’ai organisé la rencontre entre McCourt et Eyraud. Après, ils ont fait affaire. »
Didier Quillot – Source : L’Equipe 22/09/20

 

 

Eyraud avait monté un tour de table

 

 

 « Quand j’apprends en avril que Margarita Louis-Dreyfus vend l’OM,  je me dis que cela pourrait être l’aventure la plus excitante à mener dans le sport. Je suis convaincu qu’en termes de capital sympathie, d’universalité et de valeurs, ce club est la deuxième équipe de France derrière les Bleus. Je me lance donc très vite et je commence à monter un tour de table en travaillant avec des investisseurs (minoritaires au capital) américains et asiatiques. Jusqu’au jour où, fin juin, je reçois un coup de téléphone de Didier Quillot qui me dit qu’il vient de passer trois heures avec un Américain qui n’est pas dans le dossier de façon concrète et opérationnelle, mais qui pourrait être intéressé. C’est un tournant pour moi. »
JHE – Source : L’Equipe 22/09/20

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