Dans les colonnes de La Provence, Henri Bedimo a fait le point sur sa situation de « lofter » depuis le début de la saison à l’olympique de Marseille. Le latéral gauche camerounais croit pouvoir encore avoir sa chance à l’OM et évoque dans les colonnes de La Provence le mercato d’hiver :
Je pense que je vais pointer le bout de mon nez – Bedimo
« Je me considère comme un joueur de l’OM. On a eu une franche discussion avec le coach. Je n’étais pas à 100% pour pouvoir postuler mais je n’ai pas pour habitude de renoncer (…) Une hiérarchie est établie mais rien n’est définitif. Avec l’accumulation des matchs, je pense que je vais pointer le bout de mon nez ! (…) « Un départ cet hiver ? On n’y est pas encore. Je me sens concerné et motivé. Tout ce qui se dit autour, je le laisse de côté. Je suis dans un groupe sain, il y a de bons mecs, on bosse bien, on rigole. Et les bons résultats permettent d’être sereins, même pour ceux qui ne jouent pas. » Henri Bedimo – Source : La Provence
Sarr vise la deuxième place
(Photo by Anthony Dibon/Icon Sport)
Alors que Rudi Garcia ne veut pas encore parler de podium, il l’a une nouvelle fois confié ce mardi en conférence de presse, Bouna Sarr est moins mesuré. En effet, le milieu offensif reconverti en latéral droit a clairement annoncé que l’objectif a toujours été de terminer second derrière le PSG cette saison…
Finir second un objectif ? Bien sûr et ça l’a toujours été – Sarr
« Finir second un objectif ? Bien sûr et ça l’a toujours été. On est en bonne position pour finir sur le podium, il va falloir rester sur cette dynamique. On doit garder ce rythme. » Bouna Sarr
OM : « Les supporters ont vu qu’Eyraud les a pris pour des cons. Ça va devenir intenable »
Ce mardi France Football consacre un de ses dossier aux supporters de l’OM. Un témoin, un temps proche du club, donne son avis sur la situation entre la nouvelle direction et les associations. Selon lui, JHE veut aseptiser les virages…
Augmenter les abonnements pour que, comme à Paris, les virages deviennent moins populaires et plus sélectifs
« Les banderoles, les coups de pression, l’intimidation, ça ne plait à personne. Alors ils ferment tous les yeux et leur gueules. (…) En fait, ils achetaient la paix sociale. Aujourd’hui, ce n’est plus possible de composer sans eux. Eyraud leur a vendu tout ce qu’il avait à vendre, mais ils ont vu qu’il les a pris pour des cons. Ça va devenir intenable. Ils savent qu’il va encore augmenter les abonnements pour que, comme à Paris, les virages deviennent moins populaires et plus sélectifs. » Un témoin proche du club – France Football
