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OM: Clauss raconte ces « spécificités » liées à Marseille et ses supporters

Publié le - Mis à jour le
Jonathan CLAUSS of Olympique Marseille during the Friendly match between Marseille and Milan AC at Orange Velodrome on July 31, 2022 in Marseille, France. (Photo by Alexandre Dimou / Alexpress / Icon Sport)

Arrivé à l’Olympique de Marseille en provenance de Lens en 2022, Jonathan Clauss s’est tout de suite imposé comme un leader dans le club olympien. Dans un entretien accordé à L’Équipe, l’international français s’est confié sur sa première saison marseillaise. 

Devenu titulaire indiscutable à l‘OM, Jonathan Clauss est passé par toutes les émotions lors de sa première saison olympienne: « J’ai vécu une première saison ici où je suis passé par tous les états : j’étais au-dessus des nuages pendant pas mal de temps, j’ai eu un creux, des difficultés mentales, des difficultés physiques, un changement de rythme de vie, puis c’est allé mieux, puis moins bien. J’ai découvert aussi des spécificités : ici, quand les supporters ne sont pas contents, ils ne sont vraiment pas contents ! Et quand ils sont heureux, ils sont vraiment super heureux ! C’est une histoire de curseur, en fait. »

 

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« Si vous n’êtes pas stable et fort psychologiquement, c’est trop dur à gérer »

« Au départ, votre curseur fait cette taille-là (il mime un espace étroit avec ses deux mains, l’une au-dessus de l’autre). Puis, la jauge grandit, vers le haut mais aussi vers le bas. C’est là que ça devient dur parce que vous devez tout faire pour rester un peu au milieu. Et ça va de plus en plus vite, surtout avec les matches tous les trois jours, et là votre cerveau vous dit : « Attends, je suis content ou je ne suis pas content, a ajouté le latéral droit dans les colonnes de L’Équipe. Il ne faut pas trop monter le curseur parce que si tu perds trois jours après, il redescend très vite, mais il ne doit pas dégringoler non plus parce que psychologiquement, ça devient très compliqué. Si vous n’êtes pas stable et fort psychologiquement, c’est trop dur à gérer. Quand je me lance dans un truc, je le fais à 2 000 %, le moindre impact, je le ressens. Ça se voit sur mon visage, dans mon attitude. Plein de gens me disaient : « Jo, essaye de jauger tes émotions. » Il faut trouver le bon dosage sur le plan psychologique parce que la vie à l’OM, c’est dingue, a-t-il conclu.

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