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« Tacles, coups de poing… » un ancien parisien se remémore les Classiques des années 90

Mis à jour le - Publié le
10 Pierre-Emerick AUBAMEYANG (om) during the Ligue 1 Uber Eats match between Paris Saint-Germain Football Club and Olympique de Marseille at Parc des Princes on September 24, 2023 in Paris, France. (Photo by Philippe Lecoeur/FEP/Icon Sport)

En raison de la domination du Paris Saint-Germain ces dernières années, la rivalité entre l’Olympique de Marseille et le club de la capitale s’est quelque peu adoucie. Un ex-international français s’est replongé dans les duels des années 90.

Depuis le rachat du PSG par le Qatar, l’OM connaît de graves difficultés face à son rival historique. En Ligue 1, le dernier succès marseillais remonte à septembre 2020 au Parc des Princes (0-1).

Invité dans l’émission Rothen S’enflamme sur RMC Sport, Daniel Bravo, qui a joué dans les deux clubs, s’est remémoré les différentes confrontations au milieu des années 90, lorsque la rivalité était à son apogée.

A LIRE AUSSI: OM: Gerets mis à l’honneur face au PSG !« Quand tu perdais un Classique, tu ne dormais pas de la nuit »

« La mentalité des joueurs a changé. Avant, il y avait davantage d’intensité, a affirmé le désormais consultant beIN Sports. Quand tu perdais un match, tu ne dormais pas de la nuit. Il y a toujours eu cette animosité. La différence se faisait sur le terrain. L’animosité était plus grande entre les joueurs. On pouvait parler de méchanceté. Le spectacle en pâtissait mais les gens se régalaient parce que c’était un peu les jeux du cirque. Il y avait tellement de tacles, de coups de poing… ça partait dans tous les sens. »

Daniel Bravo a estimé qu’à l’époque, l’OM était l’équipe la plus “méchante”: « Nous on n’avait pas cette agressivité. On n’arrivait pas à être aussi méchant. Je ne dis pas qu’on était tendre. On pouvait être agressif. Mais il y avait une différence entre mettre le pied et vouloir faire mal, blesser l’adversaire. Pour certains, ils étaient en équipe de France ensemble. Tu ne peux pas blesser un des tes équipiers en équipe de France. L’état d’esprit des Marseillais n’était pas le même. Bernard Tapie, avait beaucoup de responsabilités, il leur communiquait cette agressivité. »

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