Christian Cataldo, leader des Dodger’s, affirme ne pas avoir proféré de menaces de mort à l’encontre des dirigeants de l’Olympique de Marseille, ni demandé la démission de Pablo Longoria.
Il sort du silence. Christian Cataldo, figure historique des tribunes marseillaises, a pris la parole auprès de l’AFP concernant la tempête qui souffle sur l’OM. Le leader des Dodger’s affirme n’avoir proféré aucune menace de mort à l’encontre de la direction olympienne, ni réclamé la démission de Pablo Longoria au cours de la réunion houleuse du lundi 18 septembre qui a entraîné le départ de Marcelino et la mise en retrait du président de l’OM ainsi que trois de ses principaux collaborateurs.
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« Il n’y a pas eu de menace de mort »
« Il n’ y a pas eu de menace de mort« , appuie Christian Cataldo des Dodger’s (3.200 abonnés). « C’est vrai qu’on a parlé de l’équipe, de ce qu’il se passe en ce moment (…) C’est vrai qu’ils sont restés blafards et sans réponse, autant sur le point technique que sur les questions du centre de formation soulevées par Rachid« , déplore-t-il.
Rachid Zeroual, leader des South Winners, évoque notamment du « harcèlement psychologique sur les enfants et les parents » au centre de formation. Ce qui l’aurait poussé à dire « vous devriez démissionner, dégager du club comme on le dit à la marseillaise« .
Les deux hommes assurent également ne pas avoir demandé la tête du technicien espagnol, parti seulement deux mois après son arrivée. Par ailleurs, ils réclament à rencontrer le propriétaire actuel du club, Franck McCourt. « Il faut qu’il vienne au plus vite pour écouter ce qu’on a lui dire« , a déclaré Zeroual.
